Easy as a kiss we'll find an answer ...

Les week-ends sont si courts et si. Parfaits. Nan, "parfait" ça fait terriblement cliché. Mais notre histoire fait terriblement cliché, parce que. Sa voiture à la sortie du RER, nos baisers qui n'attendent plus le bout de la rue "au cas où il y aurait quelqu'un avant",  nos mains pressées de se retrouver. Nos corps qui se cherchent et se trouvent à tous les coups. Parce que sa façon de mettre une musique douce et absolument parfaite, l'huile de massage délicatement parfurmée, parce que ça façon de chauffer ses mains avant de les poser sur mon rein inflammé et ultra douloureux,  parce que sa façon de me faire le dîner, parce que sa façon de me présenter peu à peu à sa famille, hier, son neveu et sa nièce (pas le bébé, la plus grande), son beau-frère et son ex beau-frère. Il reste ses parents, mais je ne suis pas pressée. Parce que sa façon de me taquiner, parce que sa façon de m'enlacer, parce que sa façon de me provoquer, "y'a quoi dans tes yeux, pourquoi c'est si dur pour toi de dire même pas trois mots?!", parce que sa façon douce et brutale de m'engueuler quand j'oublie de prendre soin de moi. Parce que nos moments séries partagés, parce que sa façon de manger ma peau, de laisser une trace, parce que nos rires emmêlés, parce que.

Et après cette petite pause. J'y retourne. Dans ses bras.

Ecrit par Kyrah, le Samedi 13 Mars 2010, 16:09 dans la rubrique "Actualités".

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